[Imris] - Mage

I.R.L

Prénom : Laurence
Age : 26
Localité : Amiens

I.G

Pseudo : Imris
Race : humaine
Classe : Mage
Spé : glace (useless)
Metiers : Herbo/Alchi
Historique de votre personnage : Je vous passe les détails de ma naissance, on va pas remonter à l’origine de l’humanité non plus ! Alors voilà chers compagnons les quelques aventures qui peuvent survenir dans la vie d’une jeune femme naïve et émotive dans cet univers épique.

Commençons donc par la rencontre qui changea mon destin : Alors que je me trouvais dans l’auberge de la forêt d’Elwynn et que je demandais mon chemin pour aller faire du shopping en la capitale de Stormwind, je rencontrais un homme splendide et fort charismatique qui répondait au doux nom de Seikil… était-il paladin ou guerrier, ma mémoire me fait défaut… Il m’escorta et me proposa de rejoindre ses compagnons qui, hasard étrange, recevaient régulièrement les même ordres que moi. Je décidais donc de partager avec eux les différentes missions que j’accomplissais. Si mon objectif était avant tout de remplir ma bourse (les robes et accessoires coûtent cher quand on aime l’élégance), je sentais chez ces aventuriers beaucoup de courage, de patience, de noblesse et… de maladresse parfois aussi. Par exemple je me souviens de nos aventures dans des mines mortes avec un nain, chasseur de son état, du nom de Jaha…Et bien je puis vous assurer qu’il ne maîtrisait pas alors totalement le dressage de sa bête ! Et le sens de l’orientation lui faisait cruellement défaut !

Plus tard, toujours accompagnée de ce courageux Seikil, je fis la rencontre de deux personnages forts et valeureux : Edoam et Alyssa. L’homme était franc et rude, mais faisait preuve d’une grande générosité envers moi… et la femme ! Quelle femme ! D’une beauté rare et surtout quel talent ! Je n’étais alors qu’une humble novice dans l’art de la magie, mais je décidais d’y consacrer tout mon temps. Je dois bien admettre que j’étais en admiration devant cette Dame qui savait jouer de ses nombreux atouts pour séduire Edoam et Seikil… Je l’admirais tant que je décidais de l’imiter en tout : apprendre les mêmes sorts, les mêmes spécialités, me vêtir de même, apprendre les mêmes professions… d’ailleurs couturier, c’est pas mon truc ! je préfère cueillir des fleurs, c’est plus romantique et les robe, j’aime les acheter, c’est bien plus rapide que de les fabriquer soi même !

Enfin… au sein de cette guilde je connu de nombreux aventuriers, de nombreux chevaliers… Puis un jour Seikil disparu… du moins tel que je le connaissais…

Les compagnons qu’il m’avait présentés continuaient de m’aider, cependant beaucoup de ceux à qui j’étais attachée nous quittaient. Je me souviens de la première fois que je fis la rencontre du peuple elfique… c’était tandis que j’aidais le petit peuple dans son ancienne citée de Gnomeregan… et plus particulièrement d’Orlâhn, prêtresse au goût vestimentaire très limité à l’époque ! On aurait dit un clown ! Et il faut dire que ces oreilles là sont difficiles à mettre en valeur ! Quelle expédition d’ailleurs… Le nain Jaha et le mage Jagang faisaient la course et s’entraînaient à mains nues, c’est le nain qui perdit à cause de son sens de l’orientation mais ce n’était que justice tant il était en veine lorsqu’il fouillait un cadavre ! Une guerrière m’avait bravement défendue aussi mais là encore je ne comprend pas comment les nains peuvent avoir si peu de bon goût… ou alors c’est que rien ne leur va ! Ingueu devint une amie chère à mon cœur, toujours présente pour me venir en aide, ainsi que le faisaient nombre des aventuriers de cette guilde.

C’est lors d’une réunion organisée par notre maître d’alors, Yrianor, que le mystère s’épaissit : Un druide répondait au nom de Seikil et faisait la cour à Alyssa !!! Je décidais de ne pas y prêter attention, mais lui me prenait sous sa coupe : il était riche, il m’offrait des armes, des robes des montures même ! Grâce à lui ma réputation auprès de son peuple s’éleva et il m’offrit un de leur destrier ! Que je fus heureuse lorsque son ami Modeste m’accompagna à Darnassus ! Certes ce voleur n’a peut-être pas payé mon beau tigre à sa juste valeur mais qu’importe… et puis les voleurs ne sont pas réputés pour leur honnêté.

C’est ainsi que mes savoirs magiques grandissaient. Tandis que mes camarades s’alliaient à d’autres guildes pour relever des défis toujours plus importants. Au cours de mes aventures je fis la rencontre d’autres mages, plus disposés à m’enseigner notre art que celle que j’avais admirée et qui occupait des fonctions hautement importante dans notre alliance : Loretta, Faia, mais aussi une vraie copine bavarde et pipelette au moins autant que moi du nom de Phaedra. Sur leurs conseils et pour gagner mes galons d’aventurière je me spécialisais dans la magie froide, ce qui me valu moins de blessure même si mon amie Orlâhn était toujours là pour veiller sur moi. L’alliance des trois guildes relevait de nombreux défis et bientôt tout Azeroth était au fait de nos exploits. D’autres aventuriers nous rejoignirent alors dont Maiwenn, une druidesse qui avec Seikil s’étaient déclarés roi et reine des druides… Pas très humbles ces deux là, mais ils m’ont épargnés souvent bien des souffrances pendant nos combats.

Et puis, parmi les officiers de ma guilde, dirigée alors de main de maitre par Naka, bonne amie d’Orlâhn, Alyssa et moi-même, se trouvait un bôôôôôô guerrier, Suirad. Ses traits ressemblaient un peu au Seikil de mes primes aventures et je mourrais d’envie de connaître l’amour ! On racontait partout que c’était un rustre, un indélicat, quelqu’un aux « penchants sexuels pour le moins originaux » d’après son témoins et ami Firwirr. Et pourtant je fus très heureuse en ce jour de janvier : nos amis étaient nos témoins ( Seikil, Firwirr, Alyssa, Naka) et notre amie Orlâhn officiait la cérémonie. Malheureusement la vie est ainsi faite et notre amour ne dura pas un hiver… nous nous sommes séparés. Et je dois bien admettre que si mon amie Orlâhn n’était promise à un nain, Aroel, j’aurais bien tenté d’oublier dans ses bras le chagrin de ce mariage, sûrement le côté paladin qui l’attirait, parce que le côté nain, vraiment je vois pas ! (Quiconque verrait ici un penchant déplacé serait bien surpris alors d’entendre le récit de mes nuits d’amour avec mon mari qui n’avait pas failli à sa réputation…) En plus, avec le temps, Orlâhn avait pu s’offrir de belles parures et était plus belle de jours en jours.

Quant à moi, je suivais ma route avec mes amies mages : Kurogan, Phaedra, Loretta, Faia… et nos compagnons d’infortune parmi lesquels se trouvaient des gnomes et un homme… dont l’allure était pour le moins gaie, quelle idée pour un homme de porter une robe ! Et rose de surcroît !
Mes amies Naka et Orlâhn quittèrent la guilde de mes débuts, Seikil avait complètement disparu… Me voilà donc chez les Tueurs de dragons qui m'acceuillèrent chaleureusement.

Mais j'étais las d'aventures m'éloignant toujours longtemps des magasins de mode. Alors je décidais de rejoindre mes amis de longue date, et Alyssa, que j'admirais toujours secrètement (mais alors trèèèèèèèès secrètement). Sans conviction cependant de partager davantage que de longues conversations sur leurs aventures et mes emplètes
Tps de played : 35 jrs
Reroll : osef
Divers : Compte suspendu.